Dès 2003, les échecs économiques étaient patents, les
mesures antisociales évidentes, et l’incompétence allait se révéler, lorsque la
France connut l’une des plus fortes canicules de ces 100 dernières années.
Toutes les mesures à prendre dès que ce phénomène climatique fut perçue et
identifié comme tel, ne furent, ou pas adoptées, ou prises avec un tel retard
que l’hécatombe chez les séniors fut considérable. C’était autant de moins de
retraités envers lesquels la nation n’avait plus d’obligation de paiement de
leur retraite mensuelle. Aux élections régionales de 2004, la droite fut balayée,
d’une manière plus forte qu’elle ne l’avait été en 1997.
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