Staline a fait ce qu’il a voulu : il a été obéi "religieusement". L’URSS a disparu, et la Russie s’est offerte à un alcoolique : Boris Elstine. Ce pantin a gesticulé, jusqu’à ce que ceux et celles qui tirent les ficelles le poussent dehors. Et ils ont projeté sur la scène et au sommet de ce nouveau régime autoritaire le petit-fils du cuisinier de Staline, Vladimir Poutine, un agent secret. Dans les habits du nouveau tsar, il a enfermé, fait disparaître, assassiner. Régulièrement, il nous menace du feu nucléaire, et les alcooliques du monde entier rient. Aujourd’hui, l’homme le plus riche de Russie a organisé une mascarade : une "élection" avec un seul candidat reconnu ! Les faits sont si graves qu’ils devraient contraindre une saisie de l’ONU et du Conseil de Sécurité – dans laquelle se trouve la Russie… Mais la "logique diplomatique" affirme qu’il faut s’écraser, se taire, faire le dos rond en attendant des jours meilleurs. Car nos diplomates sont optimistes par essence – et si c’était l’inverse ? Car ces coqs drogués au narcissisme à haute dose et à leur certitude benladenienne-et-bushienne d’être les agents du Bien ne supportent pas la résistance, "l’affront", et jouent toujours aux petits soldats. C’est aujourd’hui jour de comédie en Russie, mais c’est bien une tragédie qui se déroule depuis plusieurs années – et les alcooliques du monde entier se marrent…
You are Here
- Home
- Dans la presse
- Russie, un peuple de slaves esclaves ?
Après avoir consulté les autorités, c’est-à-dire moi-même, je vous nomme ministre des Affaires étrangères de mon propre gouvernement.
Après avoir consulté les autorités, c’est-à-dire moi-même, je vous nomme ministre des Affaires étrangères de mon propre gouvernement.
Je vous remercie de votre intérêt et de votre sollicitude. Je suis obligé de refuser : je ne suis pas péripatéticien.