"Il y a trois cent soixante ans, jour pour jour, dans la lointaine et
glaciale Suède, s'éteignait René Descartes. Officiellement, d'une
pneumonie. Dans un livre non encore traduit, l'universitaire allemand
Theodor Ebert (professeur de philosophie à l'université d'Erlangen, en
Bavière) remet en cause la version officielle. Mais d'abord, la version « officielle » : la reine Christine, qui
avait attiré le philosophe à sa cour, obligeait Descartes à lui donner
des leçons dès 5 heures du matin dans une pièce très mal chauffée : il
en serait mort. Pourtant, il y eut aussi des soupçons d'empoisonnement, vite
étouffés. Dans « La Mort mystérieuse de René Descartes » (« Der
rätselhafte Tod des René Descartes », non traduit en français), Theodor
Ebert soutient donc, documents à l'appui, la thèse de l'assassinat."
Descartes assassiné par un fanatique catholique ? Quelle surprise…