Pendant des siècles,
les guerriers étaient des hommes fiers de leur force, de leur
valeur, et pour lesquels la mesure de cette valeur dépendait
de la lutte entre guerriers, sur le champ de bataille. Un basculement
historique s’est produit – depuis quand, il faudra l’établir-
puisque ces mêmes guerriers ne recherchent pas la mesure de
cette valeur, le combat équitable, mais sont devenus des
chiens enragés dont les proies sont les civils, c’est-à-dire
des hommes et des femmes désarmés. Pendant la Seconde
Guerre Mondiale, les guerriers ont ainsi massacré, par
dizaines, centaines (Oradour sur Glane), milliers, dizaines de
milliers (Kiev, Babi Yar), par centaines de milliers (Hiroshima, Nagasaki,
Dresde, Nankin) des civils, par essence, sans défense. Frères
d’armes, ils étaient SS, GI, … Confrontés les uns aux
autres, c’était la boucherie, assurée, et la victoire,
«écrasante» des uns contre les autres. Pour vivre, survivre et continuer à avoir du plaisir à tuer, les guerriers ont changé de cible : les civils… Car les guerriers sont menacés par une force extraordinaire : la paix…
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