Les Roms, nouveaux Juifs de l’Europe !
En déplacement sur un campement de Roms, le député-maire UDI de Cholet, Gilles Bourdouleix, a laissé échapper : « Hitler n’en a peut-être pas tué assez ».
Ce n’est pas un militant nazi mais un centriste !
Un ministre de l’Intérieur socialiste lance lui aussi la campagne anti-roms en multipliant les interventions policières musclées (des enfants aux gaz lacrymogènes) très médiatisées contre les camps Roms.
« Les Roms vivant dans des campements ne souhaitent pas s’intégrer dans notre pays pour des raisons culturelles ou parce qu’ils sont entre les mains de réseaux versés dans la mendicité ou la prostitution », a estimé le ministre français de l’Intérieur Valls dans un entretien publié vendredi dans "Le Figaro" du 15 mars dernier.
À Marseille, une sénatrice, Samia Ghali, a commencé par ne pas condamner les riverains qui ont expulsé manu militari les Roms fin 2012, avant de se lâcher lors d’une visite de quartier : « quand les Roms s’installent on a une recrudescence de cambriolages », a tranquillement asséné l’élue de la République.
Toujours à Marseille, un conseiller municipal, Didier Réault, a tapoté un tweet incendiaire, invitant à balancer des cocktails Molotov sur les campements roms de la Capelette. Son chef de file, le député-maire Guy Teissier, s’est quant à lui permis d’assurer que « 2000 Roms » présents à Marseille, c’était « trop ». Avant de préciser que « même s’ils étaient dix ce serait trop » car le problème est selon lui « notre capacité à intégrer ».
Trois jours avant, dans la municipalité PS de Lille, 200 policiers évacuaient un terrain occupé par 200 Roms.
Le maire de Colombier-Saugnieu, une petite commune de l’Est lyonnais, a adressé sa démission au préfet du Rhône afin de protester contre le cadre réglementaire relatif à l’accueil des gens du voyage qu’il juge inadapté. Pierre Marmonier, le maire sans étiquette de ce village de 2 500 habitants, a adressé sa missive vendredi, après que quelque 400 caravanes et véhicules se furent installés, le 7 juillet dernier, sur un terrain privé, jouxtant un étang.
Le Pen affirme qu’à "partir du 1er janvier 2014, les 12 millions de Roms situés en Roumanie, en Bulgarie et en Hongrie auront la possibilité de s’établir dans tous les pays d’Europe".
« De nouvelles évacuations de bidonvilles vont bientôt avoir lieu, sans solution alternative, pour 800 Roms de Marseille. Et le préfet Alain Régnier [délégué interministériel pour l’hébergement et l’accès au logement] s’attend à d’autres expulsions de campements cet été. »
Le préfet Régnier appuie son action sur la circulaire interministérielle du 26 août 2012, qui prévoit l’anticipation et l’accompagnement des évacuations de campements illicites. Mais les représentants de l’État dans les départements continuent d’évacuer les terrains « sans véritable diagnostic ni proposition de relogement », note le rapport du Collectif Romeurope.Dans les départements, les préfets sont sous la pression des élus locaux et parfois de la population elle-même. « Et ils ne croient pas à l’insertion des Roms », observe Claire Sabah.
Estrosi, maire de Nice : "J’en ai maté d’autres, je vous materai"
Assurant avoir présenté une facture de 500 000 euros, le maire de Nice affirme avoir dit : "Non seulement vous allez partir, mais avant, vous allez payer. Si vous ne payez pas, ok : saisie des véhicules pour pouvoir rembourser ce que les contribuables de Nice n’ont pas à payer.""Je vais envoyer mon mode d’emploi à tous les maires de France pour qu’ils sac
S’abonner
Connexion
0 Commentaires
Le plus ancien