A l’époque, la France des Trente glorieuses encourage l’immigration pour nourrir ses industries en mains d’œuvre bon marché. Mais elle n’a pas prévu de logement.
Nanterre compte dix-sept bidonvilles. La Folie est le plus vaste d’entre eux : Il s’étend sur 23 hectares, aux frontières du chantier de l’Epad où se construit alors le quartier d’affaire de la Défense. Il compte 8 000 à 10 000 personnes, dont une majorité d’Algériens qui ont fui la guerre et les camps de regroupement, dits « zones interdites » d’Algérie.
« Demain, demain », de Laurent Maffre (extrait) (Actes Sud/ Arte é ; ditions)
Les cabanons miséreux, sont menacés par les incendies et contrôlés par les Brigades Z, chargées de contenir leur expansion. Le livre croise fiction et documentaire.
Il sort à une période où l’on célèbre les accords d’Evian, mais « ça n’est pas un projet sur l’Algérie », précise d’entrée Laurent Maffre.
« C’est un projet global qui traite du bidonville de Nanterre et des questions liées à des immigrations algériennes, mais aussi marocaines, tunisiennes, portugaises, etc… »
Documenté de travaux universitaires, photographiques, il s’appuie aussi sur les témoignages d’anciens habitants du bidonville.
Monique Hervo, 85 printemps aujourd’hui, a vécu 12 ans à la Folie, de 1959 jusqu’au rasage du bidonville en 1971. Une expérience qu’elle raconte dans « Chroniques du bidonville : Nanterre en guerre d’Algérie ». Monique fait partie des personnages qu’on retrouve dans « Demain, demain », dans le personnage de Françoise.
« Demain, demain », de Laurent Maffre (extrait) (Actes Sud/ Arte é ; ditions)
« La première fois que j’ai mis les pieds à la Folie, c’était en 1959. Il y avait eu un incendie. Je suis venue avec quelques filles. »
A l’époque, Monique a trente ans. Elle est engagée au Service Civil International (SCI).
« Les garçons étaient des insoumis et des objecteurs de conscience par rapport à la guerre d’Algérie. Nous, les filles, on ne trouvait pas vraiment notre place. C’est comme ça que j’ai pris la décision de partager la vie des Algériens et de le faire au grand jour. Je n’étais pas axée sur les porteurs de valise ou la clandestinité. Je voulais afficher que j’étais pour l’indépendance de l’Algérie. »
Monique Hervo aide les familles, fait du soutien scolaire, travaille comme écrivain public. Elle tient aussi un journal, photographie le bidonville. La rencontre entre Moniqu
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je viens de regarder un petit morceau de film ,j aime l image ,sur un grand axe sur lyon cette hiver il y avait pire mais il lon certainement enlevé car cela faisait trop contraste avec le paysage ,par ici c est tout nouveau ,enfin pour moi ,il font de jolie petite maison pour les poubelles (oui les ordures ménagéres) ,personnellement comme les autistes j ai beaucoup d humour , c est presque une raison ,mais il y a des limites faut pas prendre les gens pour des merdes et les fairent habiter dans des taudis ,je connais aussi mais je n ai pas de diplome ,nous ont se chauffait avec des briques réfractaires envelopper dans une serviette les pieds pour ne pas avoir froid ,c est un chauffage d appoint ,vous voyez le mot donne une note presque décente oui c est efféctivement un chauffage d apoint c est pour éviter d avoir les pieds gelés ;dans le sud aussi il éxiste encore des bidonville de ce style ,si je ne me trompe pas de plus actuellement travailler et synonyme de payer le loyer et il faut travailler plus pour manger , c est logique plus vous travaillez plus vous usez d énergie et en conséquence il faut travailler dur pour gagner son pain ,je voyage je montre a mon petit fils notre jolie monde par exemple les poulets industriels sont bien logés ,des centaines d hectares de maiis pour nourrir les bovins ,comme toujours on s occupe de ce qui rapporte ,c est le cas pour le bidonville ,on a tellement de préocupation pour le rapport a l argent que l on oublie méme de faire des lieu de vie convenable ,je comprend tous ces gens qui peuvent étre consterné de voir tant d abri de fortune de plus c est odieux ,ne vous évanouissez pas faite marché la climatisation quelle horreur vous n étiez pas à leur place ou vous ne l étes pas ,détendez vous ce n est pas votre cauchemar.
objecteur de conscience par rapport à la guerre d Algérie ,on ne peut que étre objecteur car les multiples éléments qui constuisent la pseudo nécéssité des guerres non pas de fondemments rationnels ,elle sont seulement légitimé car légitime est une consécration d un esprit sans conscience des intéréts ,et l on reste convaincu de sa raison ,c est bien « normal » comme souvent l étre supérieur se dote de prérogatifs urgents mais n utilise pas les moyens à mettrent en oeuvre qui conciliraient et affirmerait une nature moins animal qu il dénonce devant un banquet se gavant et ingurgitant ses propres conflits et peut étre ne sait méme pas qu il y a conflit ,car le conflit dans le narcissisme éxiste il,le tout petit esprit critique arrive il à émmerger du une conscience aussi rigide et vide de tout sens qui n est pas le sien ,il eu été démocratique l homme mais l aboutissement lui échappe.
dans la logique pour pouvoir prétendre faire du profit sur le long therme et satisfaire les besoins et éxigences de tout les acteurs il faut une société réfléchie dans ses actes ,l acte et ses conséquences ,ce critére de norme peut étre éxigible au niveau internationnal ainsi il évite le conflit , j ai dis précédement que pour moi il n éxiste pas de classe social ,la classe sociale ne peut revendiquer que le résultat dont elle est l imposteur mais pas l édifficateur ,elle pense édiffier éffectivement elle édiffie sa raison ,ses pseudo principes ,mais bien loin de pouvoir prétendre étre la raison de « l intelligence » qui opterait pour l échange ,l intelligence parfois s impose comme une nécessité de compréhension dans des domaines qui échappent à ceux qui prétendent ,à ce moment précis toute les barriéres sociales ,culturelles s éffondrent ,car l intelligence n est pas une raison ,un format ,une couleur,un pays ,l intelligence ne rentre pas dans le cadre des politesses ou des révérences car elle sert d autres domaines
les notes récente sont multiples et pourtant elle tirent leurs origines de la méme problématique d avoir éxisté précedement dans une parfaite imperfection, pas les notes, mais le mécanisme qui les conduit à éxister ,Stephan Blacburn dit « un magma diffu » il éxprime la conséquence des imperfections de ce monde enfin je le pense; ,ou le mot n arrive plus à représenter et égaler et décrire ce qu il a cru comprendre, croyant son oeuvre ,son reflet ,il ne peut se reconnaitre,car le temps crée et renouvelle sans lui l imperfection ……..