Les livres paraissent, et puis le temps passe. Et aujourd’hui, les livres paraissent, et, sous le flux des milliers, des millions, du marketing, peuvent ne jamais apparaître aux lectrices et lecteurs pourtant en attente de…
Il y a quelques années déjà, Jean-Luc Nancy publiait cet essai dont le titre est, déjà, parfait. Pourquoi ? Parce que, malgré l’agitation, la "production", mondialisée, la communauté humaine n’oeuvre pas, ni ensemble, ni fondamentalement.
Et lorsque les comiques et les comédiens de "l’ennemi public" occupent une fois de plus l’espace public pour rien, Jean-Luc Nancy rappelle, en citant Georges Bataille, "J’ai aperçu à l’épreuve que ces livres engagent à la facilité ceux qui les lisent. Ils agréent le plus souvent aux esprits vagues et impuissants qui veulent fuir et dormir et se satisfont de l’échappatoire littéraire (…) glissement à l’impuissance de la pensée qui tourne en littérature".
Dorénavant, sur "L’action littéraire", il sera question de manière plus marquée encore des livres, publiés il y a longtemps ou non, et qui ont échappé et échappent à trop de consciences…
Entièrement d’accord avec toi et Jean-Luc Nancy sur la communauté désœuvrée et les zombies qui la composent.
Entièrement d’accord avec toi et Jean-Luc Nancy sur la communauté désœuvrée ainsi que sur les ombres qui la composent.
Entièrement d’accord avec toi et Jean-Luc Nancy sur la communauté désœuvrée ainsi que sur les ombres qui la composent.
Ectoplasmes ? Alors ne nous laissons pas tenter par leur légéreté… !