Quels aliments sont concernés par la hausse des prix?
Grande distribution et industriels viennent d'achever un cycle de négociations tendues sur les prix. Résultat: ils augmenteront en moyenne de 2 à 3%, annonce la Fédération du commerce et de la distribution.
+3 à 3,5%, indique pour sa part Michel-Edouard Leclerc, patron des centres du même nom. «Les farines sont très impactées. Il va y avoir des hausses de 15 à 28% (…), détaille-t-il à l'AFP. Les huiles augmenteront également, avec des hausses de 4 à 6% pour l'arachide et le tournesol.»
Lait et volaille, déjà touchés par la hausse, augmenteront «encore un peu», précise aussi l'entrepreneur qui, se posant en défenseur du pouvoir d'achat, se plaît à jouer la transparence sur ces négociations sur son blog.
Les produits les moins transformés sont les plus touchés. Pour les produits très transformés, le poids du prix des matières premières dans le prix final est moindre.
Pourquoi une telle flambée?
Distributeurs et indutriels répercutent la flambée des prix des matières premières. L'indice des prix alimentaires de la Banque mondiale a bondi de 15% au dernier trimestre 2010. Particulièrement concernés, le sucre, le maïs, le blé et les matières grasses, souligne l'institution.
«Des hausses importantes avaient déjà été répercutées avant ces négociations», ajoute Olivier Andrault, chargé d'études alimentation à l'UFC-Que choisir. L'association de consommateurs a récemment publié une étude montrant que distributeurs et industriels ont été très prompts à cet exercice ces derniers mois, notamment sur le prix du lait et de la volaille.
«En 2007-2008, les cours ont fortement augmenté, ce qui a été répercuté sur les prix en magasins. En revanche, la chute des cours, avec la crise de 2008, n'a pas été ressentie en magasins, ou très mal», dénonce Olivier Andrault.
Quels sont les ménages les plus touchés?
cela pourrait paraitre paradoxal mais si le grand distributeur est contraint à cesser ses négociations commerciales internationales il y a répercution chez le petit commerçant c est bien logique ,et,la bourse n est pas dupe ;le probléme est complexe ,de savoir ici a combien EDOUARD LECLERC OU TOUT AUTRE GRAND DISTRIBUTEUR paye sa farine pour la panification et quels sont ses délais de payement 1 ou 2 ou 3 mois ou plus auprés de son fournisseur et comparer le prix que l artisan ou la PME paye cette méme farine à son fournisseur,ici il est question de masse de pouvoir négocier le prix et quelle est l impact de la matiére premiére sur le produit fini dans la grande distribution en somme le bénéfice brut ,les placements pendant la carence ,et quelles sont les contraintes du petit artisan ou des petits commerces , l impacte charge est il équilibré , on ne peut résumer en quelques lignes ce qui prendrait des jours ,ex pourquoi un fromage de chévre coute 3 fois plus cher dans la grande distribution alors que c est un produit fini…
péché d orgueil pas dans les affaires ils anticipent se couvrent d éventuelles aléas le commerce est rude les affaires le sont ,volonté de nous jeter en pature aux paysans ? cela est plus certains pour MICHEL-EDOUARD LECLERC ?la problématique c est la grande instabilité de l énergie les carburants entre autre ,l état est incapable de stabiliser les prix mais demande la cloture des négociation internationale alors que l état perçoit des sommes faramineuses via les taxes sur les carburants ,il faut savoir que pour un artisan boulanger chauffant son four au fioul la note peut étre salée je vais parler en francs ce sera plus simple en 1986 le fioul était a 2 francs le litre il faut environ 1500 litres de fioul par mois soit 3000 francs par mois et environ 33 000 francs par an ,il avait subi une hausse d environ 60% soit 3 francs 20 le litre ce qui représente approximativement un budjet de plus de 50 000 francs annuelle et ceci n est que l illustration d une petite affaire en énergie sans compter le gaz et l électricité…
le truc typiquement français c est de taper sur la téte de l entrepreneur français celui méme qui porte le nom et de ne pas savoir comment sont ficellé et structuré d autres enseignes ,un procés d intention qui vise à confondre recette et bénéfice,la recette étant le flue d argent et le bénéfice ce qui reste aprés avoir payé fournisseur charges salaires etc .les ménages les plus touché seront toujours les plus modestes en plus taxé via la TVA ?L ORGANISATION fiscal veut que ce soit les ménages modestes qui contribuent le plus ,on parle de degré d imposition de l année fiscal mais jamais « de taxe a la valeur ajouté » qui déterminerait le réelle pouvoir d achat des faibles revenus ,le systéme implique ce mode de fonctionnement ,celui ou celle qui n a pas de trésorerie en entreprise ou particulier est la proie des banques c est un facteur déterminant qui peut venir grever a méme hauteur que la TVA un budjet ou un particulier…
le directeur COCA COLA a un chauffeur ce n est pas juste de le laisser face à des bouteilles de vins vides quelle frustration le pauvre homme ne pas pouvoir déguster du bon vin de france avant on négociait autour d un bon cru un peu de détente n a jamais fait de mal avec modération bien sur ,
L UFC que choisir s intéresse à l augmentation des prix du lait et de la volaille entre autre, c est un exercice difficile et louable,tous ces secteurs sont porteur d emploi qui doivent étre conservé ces mémes emplois contribuent à alimenter les caisses sociales maladie assedic ursaf en conséquence globalement il doit avoir répercution sur les produits pour pouvoir étre en mesure de régler ces obligations pour couvrir les salariers malgré les défficites qui paraissent énormes, l état n a pas à justifier ses augmentations pour les principales carburants et tabacs dont il absorbe une grande partie via les taxes ,les salaires ont peu augmenté en 15 ans mais le tabacs qui fait l objet de prohibition partielle pour le tabac de 50 grammes était de 9 francs le paquet il y a une quizaine d année aujourd hui à 6 euros aproximativement 400% d augmentation et l un des motif dominant étant la santé pourquoi une partie de ces recettes fiscales ne seraient pas affectées à la santé ce serait une logique ,ainsi il ne serait donc plus question de perdre notre systéme sociale et retraite ,combien rapporte à l état les taxes sur les carburants et tabacs une contribution de celui ci serait une goutte d eau dans son fonctionnement ,c est un raisonnement primaire mais logique…
pour régler ces différents problémes de conjoncture économiques qui font que les ménages les plus pénalisé en matiére de ^pouvoir d achat alimentaire ,l état regarde les intervenants bénévoles « resto du coeur » etc.. c est donc la solidarité du citoyen qui est mise à contribution ceux qui sont moins modestes pour le cas échéant ,car le riche si il fait des dons c est pour les défalquer sur son avis d imposition ,car ceux qui ont beaucoup estiment que c est pour le moins normal d avoir beaucoup car ils l ont bien mérité aprés tout et quelle est l échelle de mérite de leur valeur à mériter,un mérite moral une moralité de l argent gagné …