La Haute Autorité de santé (HAS) est bonne fille. Elle, qui est censée faire des choix en matière de santé, a eu la délicatesse de ne rendre public que jeudi son rapport sur la question de la «dangerosité chez les malades mentaux». Soit deux jours après la promulgation de la nouvelle loi sur l’enfermement sous contrainte. Bizarre, non ? D’autant que ledit rapport, pourtant terminé depuis mars, fait un point, honnête et documenté, sur cette question. Et, au final, prend le contre-pied des clichés établissant une sorte d’équation entre fou et dangereux, clichés qui ont fortement inspiré le texte de loi sur la psychiatrie.
«Exceptionnel».«C’est honteux ce que l’on a pu entendre ces derniers mois, a rappelé, jeudi, Claude Finkelstein, présidente de la Fédération des associations de malades mentaux. A chaque fait divers, on pouvait lire : "Un schizophrène a tué." Comme s’il y avait un lien automatique. Personne n’oserait écrire : "Un Noir a tué." Mais, là, cela ne choque personne.» Une colère que les chiffres du rapport rendent légitime. La Haute Autorité a recensé toutes les études sur ces questions. «Dans les études internationales disponibles, les individus souffrant de troubles mentaux graves sont 4 à 7 fois plus souvent auteurs de violences que les individus sans trouble mental, mais ils ne sont que rarement auteurs d’actes de violence grave : environ un homicide sur 20 actes de violence, voire un homicide sur 50 [soit de 2 à 5 % des homicides, ndlr].» En France, on estime que 1% de la population souffrirait de troubles schizophréniques et 1% de troubles bipolaires. Ces personnes seraient à l’origine de 3 à 5% des cas de violence.
«C’est le premier constat qu’il faut répéter : le passage à l’acte violent chez un malade reste exceptionnel, explique le professeur Jean-Louis Senon, psychiatre à Poitiers, et qui a présidé les auditions à la base du travail de la HAS. Ce n’est ni la règle ni l’habitude. Pour les agressions sexuelles, les malades mentaux sont même très peu représentés : moins de 5%.» Comme le notent d’autres études, les malades mentaux sont bien plus victimes qu’acteurs. «Ils subissent de 7 à 17 fois plus d’actes violents que la population générale»,insiste le professeur Senon.
je vais juste vous raconter un repas du nouvelle an en 1990 je m en souvient trés trés bien car d habitude c est moi qui travaillait la nuit pour que les autres fassent la féte comme pour ne pas changer,mon épouse et moi nous allons chez des amis.es, et il y avait un homme de plus de soixante ans les cheveux long et une grande barbe il me fit penser à un philosophe et il était accompagné d un « FOU » cette étre humain la seule chose qui le mettait en colére c est que l on dise qu il était fou ,nous en avons pris acte et mon ami qui était aveugle son épouse et nous et le philosophe et le fou nous avons passé une soirée folle entre dingue et défficient cela va de soit ,car la folie est encore relative ,mais bien sur il éxiste des étres parfaits ,comment font ils quelle divinité les a enseigné! je l ai trouvé!!
je vais vous éclairer sur ce que nos proches nous enseignent sur le sujet un peu comme une vieille histoire de loup garou pour éviter les fous selon leurs conclusions un préjugé dans leur esprits disciplinés et grandiose de fantasme de dingue c est » dingue », j arréte la car sinon l inquisiteur sort des siécles passés et le sarazin se fait démolir sa 4ailes de la poste,j avais 6 ans et derriére une grande maison fermé par un immense portail se trouvait un enfant trisomique et l on pense que les grand sont des sages alors lorsque je passais devant la maison je faisais trés attention ,pourtant une fois le petit garçon était sorti de sa demeure il était vers un petit lavoir proche je croyais bien qu il allait me courir aprés mais rien ne s est passé de tout cela c était juste un enfant seul que l on cachait car les gens sont des ignorants et n ont guére évolué ,il y a des pourcentages sur les crimes et délits ,prenont un crime sexuelle ,alors pourquoi ne pas évoquer les « fous » ou « folles » qui n e parlerons jamais de ce qu ils ont subit ainsi les statistiques auront une valeur légitime ,encore une fois on manipule les chiffres pour les faire parvenir à nos éxigeances et le notoire c est ainsi satisfait de sa congratulation et s applaudit ,merci à eux
il semblerait que la folie n est pas encore une échelle mondiale d évaluation ,j ai lu « je n ai jamais entendu de semblables cris de douleurs » le témoignage de SAMAR YAZBEK ,si poétique pour décrire les esprits malades et leurs jouissances et térrifiant de savoir qu ils ne sont méme pas conscients qu ils habitent une demeure qui surplomb celle de la folie car ils en possédent le droit et de ce droit s abreuvent gratuitement de leurs pires désirs, « schizophréne » non compulsifs et méthodiques ignorants qu ils sont des « monstres »
il est vrai que lorsque l on est un « fou » il est difficile de faire entendre sa voix c est une sorte de destitution qui préjuge de la valeur humaine ,l internement sous contrainte a ses limites, mais dans certains cas un principe illégitime qui voit le jour de ceux qui prétendent, naitre pour destituer et consommer avec ardeur le du de leur éxigeance car l attente serait de trop et leurs esprits compulsifs dilapident déja une vie non vécu ,des prétextes car l ignorant est ignorant de la compassion et peut renier celle qui lui avait été affecté car c était avant et avant ne lui à que peut servit comme il ne sert peu à d autres se réfugiant dans leur estime si symbolique altéré de folie non soumise au régime qui les conventionne ,la convention n ayant encore élucider tous les critéres de destitution car peut étre serait elle en péril si prés du but .
l étre « normal » peut étre trés dangereux ,il se dit sociable moi je le pense adhérant du profit de quelque milieu soit il,son esprit critique peut développé ,ses principes « humains » inéxistants sauf pour prétendre avoir une pseudo conscience ou un semblant qui évite qu il soit « la béte »,des idées que j ai lu « de société conviviale » de « société de moins en moins social et peu démocratique » l étre ne projéte plus une forme de société mais demande et éxige contre tout principe du bon sens qui ferait une collectivité pensante conviviale éxistante et non à son service dans ses dictatures aussi paradoxale que ce qu il prétend étre symboliquement au regards d autres mais qui n est que le moyen de l arriviste perverti ayant un but et non celui des intéréts ; les fous se déguisent et leurs folies devient perverses calculées maudissant le sens et justifiant « leur triste ignorance »