Peut-on soigner avec des psychédéliques ? Utiliser du LSD pour réduire les angoisses, face à la mort, de malades en phase terminale, ou de l’ecstasy pour combattre un stress post-traumatique ? Hors de France, de nombreuses études creusent ce filon de la médecine psychédélique qui a connu un bref succès dans les années 50, quand des stars comme Cary Grant se pressaient dans des cliniques huppées en Californie pour être traitées au LSD. «Pourquoi n’ai-je pas commencé plus tôt ?», aurait confié l’acteur, «proche du bonheur» après sa psychothérapie (1). Mais le flower power et ses abus ont entraîné l’interdiction des hallucinogènes vers 1970 et interrompu toute recherche. Depuis une quinzaine d’années, elles reprennent. Aucune ne conclut qu’un hallucinogène deviendra un médicament, et nul ne connaît les effets à long terme. Mais elles ouvrent des horizons.
«L’effet d’une bombe»
Aux hôpitaux universitaires de Genève (HUG), le Dr Markus Kosel s’intéresse aux dépressions graves, dites résistantes à tous les traitements, psychologiques et biologiques. «Un des fléaux de l’humanité», nous indique le psychiatre, dans le calme de son hôpital situé sur les hauteurs de la ville. Selon les études, près d’un quart des dépressifs graves ne répondent pas de manière satisfaisante aux thérapies. «Dix pour cent de la population est touchée par la dépression une fois dans sa vie. Sur cette proportion, 20 à 25% sont difficiles à traiter, ce qui représente un nombre énorme de personnes», explique le Dr Kosel.
Dans ce contexte, l’étude menée en 2006 par Carlos Zarate du National Institute of Mental Health de Bethesda (NIMH), dans le Maryland, a fait «l’effet d’une bombe» (2). Après injection d’une dose modeste de kétamine, 71% des dix-huit patients ont bénéficié d’une «amélioration significative». Prescrite en petite quantité, la kétamine – un anesthésiant synthétisé dans les années 60 et dont l’usage détourné à des fins psychédéliques l’a inscrit sur la liste des stupéfiants interdits – n’amène pas le patient dans une autre réalité. Mais l’effet est spectaculaire et quasi immédiat chez ces personnes sévèrement atteintes (l’une est en dépression chronique depuis quarante-quatre ans) : l’amélioration commence deux heures après l’injection, et dure une semaine.
L’avancée paraît révolutionnaire : alors qu’il faut quatre à six semaines aux antidépresseurs classiques pour produire leur effet, les patients continuant donc à souffrir et avec un risque de suicide important. «A notre connaissance, il n’y a jamais eu de médicament ou de thérapie ayant provoqué un résultat aussi rapide», écrivent les auteurs, se félicitant de «l’espoir notable qu’il suscite pour développer de nouveaux traitements.»
«Le front se relaxe»
enfin un sujet complexe de part ses adversités pseudos idéologiques ou les étres narcissiques éxistent « étre » la réincarnation abusive du manichéisme (une info en notre siécle si avencé comment se fasse t il que un gendarme atteint de stress post traumatique ne bénéficie que d une consultation trimestriel chez le psychiatre ,nombreuses sont les inchoérences , à défaut d apporter de l intelligence et de revendiquer « étre » l intelligence un peu de distraction ) pour la sclérose en plaque un sujet que je trouve complexe l idéologie ne doit étre , cette idéologie qui pourrait transmettre une régréssion des soins ,la douleur pouvait étre atténué par (des joints sous controle médicale stricte ) on ne peut écarter par des principes établis les avancées techniques et bien sur il faut étre prudent et pointillieux dans la cohérence ,un des problémes fondamentaux étant la « religion illogique » l intérét qui se détourne de sa rigueur de projection (la projection du gens normaux ) ….. l interractivité avec des groupes de pensées multidisciplinaires parce que le sujet stress post traumatique stagne malgré de nombreux aléas actuels , (nous avons aussi la problématique du financement et ses répércutions pseudo spéculatifs qui sont sans intéréts etc………..)
la dépréssion parait étre un mot banal pour certain ,d autre on une vague idée et d autre peuvent penser que avec un sursaut de gaité on pourrait se sortir de cette enfer et bien non ,(le médicament) j ai moi méme connu la dépréssion sous diverse couture environ peut étre quinze ans minimum de la trés aigue à d autres moins éprouvante car je le disais a mon psy je prend l habitude (l habitude de vivre avec cette misére ,ce n est pas la morosité mais toutes ses disproportions accentuées pour éxpliquer vous éxistez en tan,t que morosité et ses dégradations,le plus étant les effets psychosomatiques physiques du stress post traumatique cumulé … un plus !.. le tableau ainsi peinds parait agréable ,éventuellement il peut parler au fou qui eu connu cette misére d antant ,une nostalgie de n avoir gardé une photo souvenir ,……..tout ce travail à divers intéréts car la dépréssion et ses usages éxistent dans beaucoup de domaines médicales en tant que pathologie non avérées ,car la conscience n a pas encore pris acte ,la doléance ne s adresse pas à la bonne personne ,la synthése voila ce qu il manque un esprit de synthése avec capacité rétroactive .. (une pensée qui a le temps et qui ne le gaspille pas inutilement ,trés difficile de converser avec le gens normaux avec sincérité il ne parle avec cohérance et puis éxiste le monologue ,il est évident que l on ne peut conclure car il fut s informer dans d autres domaines médicales etc pour parfaire son idée (comme je le dis il y a du boulot etc qui n est pas de trop)
bien que briévement mais ponctuellement sans aucune ponctuation je dépeinds le tableau sinistrosique de l état ou résidait ma vie à l époque de mon stress post traumatique ,,chaussé de pantoufle comme un viéllard je marchais à ma mesure ,le temps s était arrété et l espoir que un jour nouveau arriverait ,je ne me rasais pas ,la toilette était inexistante ,j affrontais à l aide de mes anxiolitiques la rudesse de cette oeuvre inconnu que je n aurais jamais pu imaginer méme dans les pires délires inconstructifs ,bien sur je n étais pas en rapport avec les extrats terrestres comme le sont les chyzophrénes ,comment éxprimer que un peu d aide extérieur n aurait pas été de trop à l époque ,un temps je me suis méme demandé pourquoi les gens m évitaient ( c est l image qui leur fait peur l étre est suptile de maniére inné ) lorsque l état a été atténué je n osais à peine me retourner de peur que la maladie me pourchasse ,mon impression est la suivante qu ils résident des gens sans aucune aide qui fuit cette société ,je vois leur misére non subjective , c est un désaroi et un amalgame ,l étre « normal » est odieu à ce moment précis si il n a pas été celui la un cours moment de sa vie (celui la est l éxpérience car elle fourni d autres principes et préjugés illogiques pour l analyses de situation conjoncturelle ,car il éxiste une logique shématique sans la circonstance précédente ,l effet et la cause sont inéxistante ………
focaliser son intention avec le préjugé complaisant de sa haute dignité ,le souverain roi d autres royaumes dont à peu prés il connait les » ont dit » ou la certitude est incertaine (polémique sans l intérét car le préjugé régne faute d étude un mot de trop car la polémique ignore ) discuter est ce que la maladie mentale est atténué par le psychotrope ,anxieulitique etc d ou le besoin légitime de l argument médicale psychiatrique ,est ce la société qui délivre par ses inchoérences et « stratagémes filandreux » dont elle ignore l éxistence car toutes les cibles qui non valeurs spéculatives sont un préjugé disgracieu dans l harmonie ainsi construit ( rendons à césar ce qui ne lui appartient pas ) la spécialité peut étre l incident technique et mathématique logique d un disernement avec ses préjugés ,le besoin fondamentale éclaire la bienveillance et légitime cependant l interractivité intelligente qui à cultivé ses savoirs est indispensable ,le but étant l égalité des plus pauvres ,le pauvre se défini comme l opprimé car d autres pensent savoir que leurs miséres fut plus grandes alors qu ils ne mangeaient pas encore du pain sec ……….