De « l’identité nationale » ?, note 5, Milan Kundera, Darquier de Pellepoix

D'un côté, un Tchèque qui écrit l'un des plus beaux romans de la langue française, "L'insoutenable légéreté de l'être", de l'autre un "bon français" qui trahira son pays en se mettant au service du nazisme afin de défendre "l'identité nationale", en devenant l'absolument méprisable "commissaire général aux questions juives"… L'un est DEVENU Français, l'autre, comme Maurras, est devenu un traître et un ennemi de… – l'identité nationale ? Non, de notre humanité, qui est supérieure à notre être-national…

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