Dilma Rousseff a mis 12 vetos et procédé à 31 modifications qui entreront dès lundi en vigueur mais devront ensuite être approuvés par le Congrès, ce qui laisse présager une nouvelle passe d’armes parlementaire.
Le veto démontre que le Brésil «est un pays qui veut protéger l’environnement tout en continuant à produire des aliments», a dit Izabella Teixeira.
Le texte modifié conserve l’obligation de maintenir intacts jusqu'à 80% des forêts dans les grandes propriétés en Amazonie et 35% dans les zones de savane. Mais il accepte plus de flexibilité pour les petites propriétés qui représentent le quart des terres agricoles du pays.
Le code forestier expose le dilemme du Brésil: d’un côté, un géant agricole, parfois qualifié de «ferme du monde», où les terres cultivées représentent quatre fois la superficie de la France, et de l’autre, un pays qui a réduit la déforestation de 27 000 km2 en 2004 à un peu plus de 6 000 km2 en 2011.
c est logique c est un patrimoine inestimable et puis ce sont toujours les mémes qui profitent ,bientot on ira au brésil faire des safaris photos ,un bout de brousse c est sympa au milieu des serpents ,le pélerin du Brésil celui qui veut de l oxigéne , n oubliez pas la carte postale ,comme je ne reçois pas de carte postale j ai un truc lorsque que je fais un pélerinage je m envoie une carte postale éssayez c est palpitant d attendre le facteur dans ce cas, parce que d habitude pas de nouvelle bonne nouvelle et pourquoi le courrier c est toujours des factures