"Presque au même moment, le président de France Télévisions Patrick de
Carolis réagissait aux attaques de ces derniers jours et à qualifié
Peillon «d’homme en perdition». «Je pense que le service
public n’a pas vocation à servir de punching-ball médiatique à un homme
en mal de notoriété.» «Il y a deux façons de faire de la
politique, sur les cimes et dans le caniveau. Et je vois que Monsieur
Peillon a choisi», a commenté le patron de France Télévisions."
Il faut dire que la mise en cause sur "la servilité" est précise, radicale, et totale. Il y a bien longtemps que "l'information" sur ces chaînes serviles est en perdition, et en le disant, M. Peillon a raison – il doit continuer, malgré l'ire médiatico-mondaine et parisienne, malgré Benoit Hamon…