Un mois de Coupe du Monde de Rugby, un mois de commentaires nuls (Thierry Lacroix et consorts), une victoire finale néo-zélandaise obtenue par tricheries et un arbitrage maison, la fin des paradoxes

Les Français sont généreux, y compris jusqu'à la bêtise. La dernière décennie a vu la promotion systématique des incompétents, que ce soit au niveau politique comme dans un certain nombre de professions. Pour être commentateur de rugby, TF1 qui a acheté une partie importante des droits télévisuels de la Coupe du Monde, a plébiscité Thierry Lacroix, le spécialiste des lapalissades : pour gagner, il faut être meilleur, et éviter de prendre des points, etc (le tout se vérifie aisément en réécoutant certains matchs). Dans l'histoire du commentaire des matchs, il y eut le mythique Robert Couderc, l'enthousiaste supporter nationaliste, puis le robot Pierre Salviac qui accumulait les chiffres, les statistiques, jusqu'à Thierry Lacroix, et ses plates évidences. Jouer un tel match avec un tel arbitre rendait l'exercice difficile. M. Lacroix, en franco-anglais, la joue gentleman, quand l'arbitre trahit sa fonction, en ne sanctionnant pas les tricheries permanentes, les coups violents (Mc Caw sur Parra). Il est à l'unisson de cette presse qui fait de la plate "information", quand pendant toute la semaine la presse néo-zélandaise a mis la pression sur les Français par le "french bashing". L'Hémisphère Sud organise depuis trente ans les moyens pour voler les finales (comme avec les Sud Africains chez eux), et nous la jouons gentleman. Fin de l'histoire des paradoxes : en demi-finale, les Gallois ont été meilleurs et ont été battus, et en finale, l'équipe de France a été meilleure et a été battue. Rideau. 

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