"Au Medef, à entendre Laurence Parisot, sa présidente, on ne savait rien des pratiques étranges en vogue dans l’une de ses fédérations affiliées – l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), avec ses millions retirés en cash de ses comptes bancaires et distribués en secret par les patrons successifs de l’organisation. Achetant sa puissance et son influence à coup de billets remis de la main à la main, sans signature ni reçu, la riche UIMM n’était pourtant pas la seule à fonctionner dans cette zone grise. Au CNPF (Conseil national du patronat français), l’ancêtre du Medef, on connaissait l’usage des valises. Ça finançait joyeusement au 31, avenue Pierre 1er de Serbie, l’adresse historique du patronat, aujourd’hui déménagé avenue Bosquet, près du Champ de Mars."
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A compléter par les livres de Madame Annie Lacroix-Riz, et notamment le dernier, "Le choix de la défaite", sur le financement des médias, des partis, de certains élus (notamment du célèbre Anatole de Monzie), de 1918 à 1939.