Il y a évidemment la présomption d'innocence, et Dominique Strauss-Kahn y a droit comme tout citoyen. Mais cette accusation d'agression sexuelle new-yorkaise a toutes les apparences du point final de sa course à l'Elysée, avant même d'avoir vraiment commencé.
Avec son inculpation dans la nuit pour « agression sexuelle », « tentative de viol » et « séquestration » sur la personne d'une femme de ménage du Sofitel de la 44e rue, on voit mal comment le directeur général du FMI pourra se sortir de cette affaire avant l'échéance de la fin juin, date iimite pour les candidatures aux primaires socialistes.
Le seul scénario qui permettrait à Dominique Strauss-Kahn de rester sur les rails de la primaire, et donc potentiellement de l'Elysée, serait que le récit de la femme de chambre du Sofitel, sur lequel repose toute l'accusation d'agression sexuelle, se dégonfle rapidement.
Il faudrait qu'on découvre dans les prochains jours que le dossier relève d'une interprétation très américaine du harcèlement sexuel, d'une manipulation ou d'un piège, pour que cette affaire soit reléguée au rayon, chargé, des polémiques de pré-campagne.
via www.rue89.com
j ai vu un journal hier ,je vais rester sérieux c est surprenant comme coincidence DSK ,MAIS AVANT D ETRE COUPABLE IL FAUT ETRE JUGER ,franchement l esprit critique me fait douter de la véracité puis je m aréte ici pour l aprés c est l oeuvre du dessinateur…..