Plus la crise s'accélère, plus les hypothèses de leur manifeste, publié à l'automne 2010, se vérifient. Et, à force de dénoncer les méfaits de l'austérité, ou les errements de Bruxelles face à la crise, les économistes «atterrés» ont l'impression de radoter. «Nous sommes condamnés au radotage, car l'Histoire bafouille», ironise Frédéric Lordon, directeur de recherche au CNRS, s'en prenant à la «remarquable persévérance dans l'erreur de ceux qui nous dirigent».
A l'invitation de Mediapart, six de ces économistes «atterrés» ont repris, jeudi 6 octobre à Paris, leur bâton de pèlerin. De l'agonie grecque à la chute de Dexia, ils ont décrit le nouveau virage de la crise, et tiré à boulets rouges sur l'Union européenne, qui n'y est pas pour rien dans les tourmentes en cours. Voici la vidéo de la première partie du débat (1h25):
via www.mediapart.fr
j ai peu lu ,la dette serait la faute des malades ,de la santé ,recherche et éducation ,hors nous nous trouvons dans un systéme de rotation de l argent c est à dire que énormément de gens gagne leur vie indirectement sur cette rotation et prospére et s acquite d une tva impots etc je parle uniquement de ce systéme de rotation,je vais vous dire ce que je pense de ces économistes « attérrés » ils sont les autistes de l économies contre le capitalisme libéral et ses « normes » ,la pertinence n est pas un argument pour eux ,sur terre si 30% des terres qui sont misent en jachére étaient cultivé tout le monde pourrait manger de façon saine ,il ont construit dans un premier temps a grande échelle la délocalisation pour des profits en réalité il éxploitait l amalgame et la pauvreté ce ne sont pas des bases saines à long therme c est de la spéculation sur l humain .