Armand Colin publie une nouvelle édition, "de poche", et augmentée, de cet ouvrage d'Annie Lacroix-Riz qui, comme certains autres de ses ouvrages, était épuisé. Cette nouvelle édition établit toujours plus le tropisme germanique du Vatican, du début de la première guerre mondiale jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale, y compris dans les pires moments du 3ème Reich et de la Seconde Guerre Mondiale. Annie Lacroix-Riz n'invente rien : elle travaille inlassablement sur les archives. Ce que Julian Assange révèle sur les faits, les choix et les actes diplomatiques, comme des services secrets, des armées des pays les plus puissants, Annie Lacroix-Riz l'établit pour ce "passé"-présent, puisqu'elle va examiner les archives et les révéler.
Récemment, elle a écrit et diffusé une réponse concernant la problématique-propagande, diffusée par le Monde (mais aussi colportée dans les grandes écoles), concernant l'acceptation par les membres et sympathisants du PCF du pacte de non-agression germano-soviétique de 1939 et leur prétendu attentisme jusqu'en juin 41.
on voit des livres et des journalistes démontrer grâce aux archives que ce fut l’inverse, que Pie XII sauva des vies, et c’est un peu l’image qu’il a en Italie : qui croire ?
Mais il n’est tout pas simplement pas question de savoir si ce S. Pontife a « sauvé » des Juifs. Car c’est tout à fait certain. Ce n’est pas le problème ici. C’est qui est en jeu, c’est la « politique », actée, permanente, réelle, du Vatican. Pour sa propre conscience, pour satisfaire des amitiés, par calcul de prudence, ce S. Pontife a pu décider de faire « sauver » des Juifs traqués, mais COMBIEN EN REGARD DU NOMBRE DE NAZIS que le Vatican va aider à la fin de la Seconde Guerre Mondiale ? et après ? ainsi que quelques français particulièrement impliqués dans la Collaboration ? Qu’est-ce que cela lui coûtait de « sauver » ? Il se savait intouchable. Il pouvait se servir de ces actes pour prétendre prouver sa… bonne foi ! Mais pourquoi « sauver » autant de Nazis ? Et pourquoi avoir tant soutenu le Nazisme, dans sa lutte contre « l’empire du mal », le communisme ?
prouver sa bonne foi….c est une conception qui ne peut se formuler , une formule qui n est pas à concevoir et qui n a jamais eu de forme d éxistence ,on ne peut impliquer à la conscience fondamentale de la raison et de la modestie de toutes les interrogations celui qui méme prétend à detenir les piliers du savoir ,du juste ,de sa rigueur tellement rigoureuse qu elle est rigide en son état ,bien au dela de cette misérable humanité tellement préocupé par la vie ne sachant pas attendre le temps venu et dicté ,preuve que la grandeur à ses paradoxes à vivre parmi les brebis .
les livres et les journalistes « journalistes » ,les archives qui n ont pas brulé consumé car consumé démontre ce qui est à démonter juste une « image » figé pour ce qu elle est ,croire ,chercher, car croire en l état est une forme passive qui ne donne pas réponse mais interprétation des passés dans l obscurité
Une fois que les actes, paroles, sont accomplis, les faits sont les faits, et heureusement que la matière comme notre masse cérébrale FONT de la mémoire, par la conservations de ces faits, entièrement ou par morceaux, traces. Quant à ce on ne peut impliquer à la conscience fondamentale de la raison et de la modestie de toutes les interrogations celui qui méme prétend à detenir les piliers du savoir ,du juste ,de sa rigueur tellement rigoureuse qu elle est rigide en son état », vous parlez de qui ? Du S. Pontife ? Si oui, grand éclat de rire…
oui ,du S.PONTIFE, la cause étant sa grandeur.la charge est lourde pour un homme …
je me suis relu oui ,c est marrant de se relire.
« oui ,du S.PONTIFE, la cause étant sa grandeur.la charge est lourde pour un homme … », arrêtez, vous allez me faire pleurer… mais si la charge est lourde, qu’il s’en allège en la quittant, d’autant que nul ne lui demande rien. Car je CROIS que jamais RIEN ne l’a appelé ou demandé, même si « Dieu », la possibilité même de « Dieu », peut exister, DE SON COTE. Il n’y a aucun rapport entre celui-celle-cela, et « les religions », d’autant que ces sectes prétendument monothéistes et plus véritablement manichéennes ont été la source même de l’athéisme; les peuples antiques étaient polythéistes, animistes ET CROYAIENT A LA PRESENCE DE L INVISIBLE, et les « Chrétiens » ont consciencieusement détruit la présence du divin dans le monde. Terrain idéal pour aller faire du capitalisme mondialisé.
les « chrétiens » ont consciencieusement détruit la présence du divin dans le monde ;terrain idéal pour aller faire du capitalisme mondialisé » c est exact capitalisme mondialisé entre autre parmi ce qui ne se nomme pas car le paroxisme de l innomable ou créant une pseudo culture ou autre loi de la conscience déterminant l hypothétique décence géré par le totalitarisme légitimé,paraitre et prétendre dans les détails les plus affutés des paradoxes ,éxigeant ce que l on n éxige pas de soi méme ,figeant la vie ,n entrons pas dans les détails de la cohabitation et de la complaisance des droits de jouissances et autres inhumaines dérives ;HUMAIN EST UNE QUESTION car la référence indispensable à déterminer ce qu est un humain légitime de la conscience et de l acte ,malgré de nombreux éssais ne m apparaissent pas à ce jour et nous en écartons avec rapidité …..la cause étant sa grandeur ,la charge est lourde pour un homme ,la générosité de mon esprit ,faiblesse ,peut étre d apparence ,beaucoup on cette vision subjective à mon égard ,je ne parle pas de vous ,l étre simple et critique d écrit ce qui lui parait incohérent dans ce monde falsifié de toutes parts ,allant méme argumenter son modéle d égoisme ,d arogance ,de vanité ,de jalousie ,et autres valeurs similaires prétextes
« LA CAUSE LA CHARGE POUR UN HOMME » pleurer non mais rire oui cela dépend comment on transpose les mots pour l esprit ,c était mon humour ,ce n est pas ma spécialité ,dieudonné est un bon humoriste ,on a besoin de rire dans cette vie .
« on dit qui séme le vent récolte la tempéte » mais par contre on ne récolte pas ce que l on séme c est les aléas de la nature ,l esprit n a pas encore pris acte de cette considération essentielle
mais la charge est lourde,qu il s en allége en la quittant…. l étre a les servitudes qu il a engendré dans les consciences ,l ére peut prétendre que son corps n est pas libre ,des étres ne le sont pas n ayant pas de servitudes mais la conscience de servir et d éxister ayant ainsi perdu le service auquel la destination les désignaient pour un autre plus modeste ,des paradoxes ,l esprit reste libre la conscience intégre sans voir.