La charge de Laurent Wauquiez, contre le RSA est fondée sur de nombreuses contre-vérités. Passage en revue.
Le RSA est-il à l’origine d’une «dérive de l’assistanat» ?
C’est ce que prétend Laurent Wauquiez. Pourtant les statistiques relatives au nombre de bénéficiaires du RMI (remplacé par le RSA-socle) ne corroborent pas ses dires. Depuis une quinzaine d’années, le nombre d’allocataires fluctue dans une fourchette de 1,1 à 1,3 million de personnes. C’est au plancher en période de croissance économique (1997-2001), ça repart à la hausse quand l’activité s’essouffle (1,2 million en 2004). Le nombre de 1,37 million d’allocataires au RSA-socle a été atteint en décembre avec la crise. Parmi eux figurent les plus de 50 ans, qui peinent à retrouver du travail. Ils sont «en augmentation […] particulièrement marquée en 2009 et 2010», pointe une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques.
Les allocataires du RSA sont-ils tenus de chercher du travail ?
Oui. La loi de décembre 2008, qui a créé le RSA, les oblige à s’inscrire à Pôle emploi (sauf dérogation pour raisons de santé). Ce qui n’était pas le cas avec le RMI. Anecdote croustillante : avant le vote de la loi, le ministre de l’Emploi de l’époque, un certain Laurent Wauquiez, s’était farouchement opposé à cette obligation, craignant que l’afflux d’allocataires du RSA à Pôle emploi, ne pèse sur les statistiques du chômage et ne nuisent à son bilan. L’Elysée avait dû arbitrer : inscription impérative.
Faut-il les obliger à travailler ?
Avec la montée du chômage ce sont les chômeurs les plus qualifiés, les plus expérimentés, les moins âgés qui retrouvent du travail. Les allocataires du RSA sont à la peine. «Dans l’état de crispation de la société française, il faut résolument mettre en place des dispositifs d’emploi-formation des personnes les moins qualifiées pour éviter qu’on ne les soupçonne de vouloir tirer au flanc», avertit Pierre Yves Madignier, président d’ATD Quart-Monde. Wauquiez veut instituer pour eux une obligation de travail de «cinq heures chaque semaine». Mais Martin Hirsch, fait observer qu’appliquée massivement, cette mesure pourrait «détruire des emplois peu qualifiés existants» leurs titulaires étant remplacés par les gens au RSA.
Quid du RSA-activité ?
je n ai pas lu si peu 3 secondes ,fondamentalement la société est à reconstruire ,les lois d imposition capitaliste auquel adhérent se supposer leur servir un leur ,un paradoxe de statut ,j ai lu la route un enfer ,méme la liberté qui ne nuis pas à autrui est confisqué ,est cela la démocratie , trouver du travail ex:vous avez un véhicule et l on vous propose du travail à 35 kilométres à mi temps à quoi vous sert votre rémunération et bien entretenir votre véhicule et mettre de l essence en conséquence votre salaire est imposé indirectement à combien ,je vous laisse faire le calcul ,on ne peu pas dire que le travail dans cette condition vous apporte dans votre assiette à manger,et pourtant je ne voit que des voitures neuves pratiquement ,cout du crédit dont environ 33% de taxe si, je ne me trompe pas ,carburant le baril baisse mais ^pas à la pompe quel est le montant annuelle que l état perçoit pour ces 2 taxes,et le pire c est que les gens sont devenu esclave de ce mode de vie imposé et légitimé par le paraitre