Elle demandait que l’Etat et la Nation aient le courage, "l’amour", de lui "donner" la mort, plutôt que de laisser celle-ci l’emporter à une heure encore trop lointaine : retranchées derrière "le Droit", ceux et celles qui lui ont répondu ont dit qu’en droit, ils ne pouvaient rien faire pour elle – jusqu’aux mots les plus méprisables de Madame Boutin (merci ! les masques tombent !). D’une manière ou d’une autre, elle a donc fait en sorte que ces jours prennent fin, et donc cette souffrance qu’elle disait intolérable, et qui devait l’être. Mains purs et blanches, il s’agit d’imiter les anges – mais dès qu’il s’agit d’argent, les anges qui nous dirigent ressemblent plus à des démons… Suicidez-vous, droguez-vous, mais le plus discrètement possible, pour ne pas déranger notre "bonne conscience"…
Si tu passes chez moi, tu verras mon sentiment global sur le cas de Chantal et notre cas à nous tous.
Bisous Grell’
Oui, je suis venu, j’ai vu, et je sais à quel point et comment, bien, tu lui as rendu l’hommage qu’elle mérite.
C’est elle qui a tout fait…
et ce qu’elle a initié n’est pas prêt de s’arrêter…
Bisous Grell
Oui, mais ne comptons pas sur l’Etat !