"Hervé Hamon. «Ici, en Bolivie, la presse et les médias ont quasiment oublié l’existence du monde extérieur
– autant que l’opinion européenne néglige la Bolivie. Car, chaque jour,
la tension est plus forte et les nouvelles plus amères. Le premier
président indien de l’histoire, Evo Morales, ancien syndicaliste
paysan, se retrouve dos au mur et encaisse provocations sur
provocations. C’est peu dire qu’il a été démocratiquement élu : il
vient même de remettre son mandat en jeu à mi-parcours, et a remporté
les deux tiers des voix. Mais ce sont les voix des pauvres dont la
force n’est qu’arithmétique."
La suite est à lire dans le "Contre Journal", sur Libération
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