Il y a eu, ces dernières années, ces pays d’Amérique latine et centrale qui ont élu des dirigeants de gauche. Exception : la vieille Europe, qui rejette la sociale-démocratie mais préfère confier ses droits, ses Trésors publics, à la même droite monomaniaque : Sarkozy, Berlusconi, Merkel (à l’exception de l’Espagne, qui elle suit la voie des pays d’Amérique Latine). Après 8 ans d’un gouvernement cauchemardesque et catastrophique pour les Etats-Unis et le monde (comme cela était prévisible dès 2000 !), les citoyens des Etats-Unis viennent de choisir et d’élire un homme (ah, les médias français et leur obsession sur la couleur d la peau, alors que nous avons bien un chef d’Etat de couleur, puisque la « blancheur » est une couleur…), pour ce qu’il est, son caractère et son intelligence et pour son programme. Il veut avant tout être un homme de dialogue. Ouf ! Après le plouc texan, enfin, ce grand pays est dirigé par un homme digne de cette fonction, si essentielle et si dangereuse, puisque si influente. Et pendant ce temps-là, la France, elle, va être encore dirigé par un bushiste pendant 4 ans…
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