Elle reproche encore au parti majoritaire de «préférer dire oui aux référendums suisses et non à ceux qui incarnent la droite sociale et humaniste».
Mais elle se radoucit, en assurant, toujours sur Europe 1, qu’en rejoignant le Parti radical, associé de l’UMP, elle n’entrait «pas dans l’opposition». «C’est la même majorité mais cette majorité a besoin d’avoir» à la fois «une aile droite et une aile gauche et centriste», maintient-elle, déclarant sa flamme simultanément au président de la République et à l’ancien numéro deux du gouvernement: «J’ai le coeur assez grand pour en aimer deux!»
En espérant que JAMAIS des hommes et des femmes de gauche ne lui feront la moindre place…