Mercredi, la ville de Saint-Nazaire a engagé une action en justice contre la banque Dexia pour obtenir l'annulation d'un prêt toxique. C'est au moins la vingtième collectivité locale en quelques mois à porter son différend bancaire devant les tribunaux. Et le nombre des plaignants risque d'augmenter à vue d'œil, à en croire les conclusions du rapport de la commission d'enquête parlementaire sur les produits toxiques, publié ce jeudi.
« En 2008, quand j'ai commencé à soulever le problème, on parlait de quelques dizaines de collectivités locales concernées, tout au plus. Cela pouvait passer pour de la mauvaise gestion de la part de certains élus. Aujourd'hui, on se rend compte que le problème a une tout autre ampleur : 4.000 collectivités locales – villes, départements, hôpitaux, organismes d'HLM – sont touchées par les produits toxiques. C'est une vraie crise systémique », explique Claude Bartolone, président PS du conseil général de Seine-Saint-Denis et président de la commission d'enquête.
Après avoir mené une enquête serrée auprès
via www.mediapart.fr
C EST NOTRE METIER ,les banques sont des rouleaux compresseurs ,il ficelle le prét bancaire ,closes contractuelles etc venez et prenez la journée avec votre conseil cela vaut la peine car sinon vous étes leur outils de travail , l esclave en quelque sorte ,votre vie à bosser pour des prunes ,j inclus en passant Stephan Blackburn (philosophe autiste) travailler est il nécessaire? c est une grande question et je rajoute qu est ce le travail quel est sa définition dans l aboutissement et que voudrait on conclure .