A l'heure où nous passons des connaissances aux compétences, quels sont les leviers politiques qui permettraient de réinventer l'école ?
M. G. : L'école est à réinventer, mais elle ne pourra pas le faire seule dans son coin. Ce n'est pas un domaine de spécialité comme un autre qu'il suffirait de confier aux experts pour qu'ils trouvent les solutions. Le problème éducatif ne pourra être résolu dans ces conditions. C'est une affaire qui concerne au plus haut point la vie publique, qui engage l'avenir de nos sociétés et ne peut être traitée que comme une responsabilité collective qui nous concerne tous, et pas seulement les parents d'élèves.
L'une des évolutions actuelles les plus inquiétantes réside dans l'installation au poste de commandement d'une vision purement économique du problème, élaborée et développée à l'échelle internationale.
Ce que résume l'écho donné aux résultats des enquêtes du Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA), pilotées par l'OCDE. Le ministère de l'éducation nationale ne fait plus que répercuter des conceptions très discutables du type de performances auxquelles doivent tendre les systèmes éducatifs.
Très discutables, je le précise, y compris du point de vue de l'emploi et de l'efficacité économique. Qui peut prendre au sérieux le livret de compétences introduit au collège dans le but de mieux évaluer les acquis des élèves ?
Dans le travail comme dans le reste de l'existence, c'est avec de la pensée que l'on peut progresser, à tous les niveaux. La fonction de l'école, c'est tout simplement d'apprendre
via www.lemonde.fr
je ne pense pas que la politique et ses leviers qui » siége » et ses experts ne soit capable de remodeler une école qui prépare ,il faudrait refondre et intéresser outres les acteurs parents d éléves qui ne représentent pas les filiéres d intéréts d une société dans sa nouvelle construction , je ne parle pas de la finance qui construit son oeuvre pour ses intéréts sur le court therme bien qu elle puisse prétendre selon la conjoncture quelle est le reméde du long therme ,ce n est pas n ont ^plus une réunion de syndicaliste qu il soit patronal ou ouvrier ,ou ce qui peut prétendre étre assimilé ,mais de la pensé constructive de telle ou telle filiaire toutes peuvent fusionner pour éclaircir une approche imparfaite mais respective d une autre façon démocratique de gérer le devenir des écoles et pour ceci il faut investir ce qui est une logique et que tous les acteurs ,enfants parents ,industriel etc aient conscience que l on a investi pour eux ,sans cela c est à dire sans conscience l investissement sera le gouffre ,la conscience est une éxigeance fondammentale…
aujourd hui mon petit fils et moi nous avons pris un train à vapeur et pour un temps nous nous sommes retrouvé dans des wagons datant de 1895 c était une parenthése nécessaire à une évolution, les problémes sont multiples , réactualisé dans des derniers recours ,dans la précipitation ,aussi désorganisé que notre société l est ,méconnaissant les besoins d entreprises ,ne s ajustant pas ,privilégiant parfois pour un temps certaine dit « élites » pour mieux les foudroyer dans un second temps sans les honneurs ,dans les années 1970 à 1985 dans la profession de boulanger nous avions souvent des jeunes en echec scolaire certain pensant que à défaut de rien il ferait l affaire dans la profession ,impossible de plus la conception de notre mode de vie à changé et d autre systéme on la main mise sur ces qualifications pour mieux les déclasser en faire la compétence de leur pouvoir mais pas d une éxpérience professionnel enrichissante humaine et valorisante ,la valeur est créé par le systéme mais le systéme ne créé pas la compétence qui apporte la qualité qui va en se dégradant celle ci se transmettant ,quelle en est l issue si nous transmettons la médiocrité pour la valeur de l argent d autui,aprés 1985 ce fut des jeunes avec le brevet des colléges qui étaient éxigés pour rentrer dans la profession c est encore discutable ,car la motivation est l un des facteurs et vecteurs ,faut il encore que les jeunes soit encore motivés » ma profession était boulanger patissier tourrier viennoisier « et de multitude de connaissance et surtout beaucoup de sacrifice dans la vie ,mais qui veut faire des sacrifices si il n est qu un numéro dans cette société ,le prof de français ou le maçon ,peut étre le pdg avec son parachute ,ce que je veux dire sans morale de l argent c est trés difficile de penser une société …